REFADD – REseau Femmes Africaines pour le Développement Durable

ICON/BTN/arrow/2/arrow-down Created with Sketch. Les bénéficiairesREFADD – REseau Femmes Africaines pour le Développement Durable

Qui sommes-nous?

Crée en juin 1998, à Bata, en Guinée Equatoriale, en marge de la deuxième édition de la Conférence sur les Ecosystèmes de forêts Denses et Humides d’Afrique Centrale, « CEFDHAC », le Réseau Femmes Africaines pour le Développement Durable « REFADD » est un réseau d’Organisation non Gouvernementales majoritairement féministes oeuvrant dans la gestion durable des ressources naturelles. Il intervient aussi dans la conception, l’exécution et le suivi des projets de conservation et de développement dans la région d’Afrique Centrale.

 

Les pays membres du REFADD sont : le Burundi, le Cameroun, le Gabon, la Guinée Equatoriale, la République Centrafricaine, la République du Congo; la République Démocratique du Congo, le Rwanda, Sao Tome et Principe et le Tchad.

 

Sa mission est de promouvoir la participation effective des femmes Africaines au développement durable à travers leur implication dans les programmes de gestion durable des ressources naturelles et à la conservation de la biodiversité en Afrique Centrale.

Les objectifs

– Identifier des stratégies pour favoriser la participation des ONG, (majoritairement féministe), dans l’élaboration, la réalisation et le suivi des programmes nationaux et régionaux de développement durable ;

 

– Faire prendre conscience à l’humanité du rôle déterminant que peuvent jouer les femmes dans la gestion durable des ressources naturelles ;

 

– Promouvoir le renforcement des capacités des OGNS à travers leur formation et leur information en vue de la participation des populations locales en général et des femmes en particulier, à la prise de décisions sur les questions liées au développement durable ;

 

– Améliorer la communication, le dialogue et les synergies entre les ONG et les acteurs impliqués dans la gestion durable des ressources naturelles en Afrique Centrale ;

 

– Concilier les besoins de conservation au développement à travers la promotion des activités alternatives et le renforcement des capacités des membres (appuis financier, technique, et

institutionnel) ;

 

– Développer les stratégies de recherche des financements durables ;

 

– Partager les leçons apprises au niveau national, sous régional, régional et international ;